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★★★★★
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Après l’engouement qu’a connu notre pays pour la question politique au début de cette dernière décennie, on observe aujourd’hui un désengagement et un désintérêt publics palpables, en dehors des mêmes acteurs de la sphère politique…
Pourtant, se préoccuper, comprendre, analyser et pratiquer la politique n’est pas seulement l’affaire de ceux qui se proclament « spécialistes », mais est censé toucher, aujourd’hui plus que jamais, un public diversifié ; des économistes, managers, ingénieurs, journalistes, artistes… qui peuvent apporter leur pierre à l’édifice, face aux besoins pressants de solutions « scientifiques » aux difficultés auxquelles fait face notre pays…
Aujourd’hui, à l’ère du digital, de l’IA, de la communication et des réseaux sociaux, apprendre et pratiquer les Sciences Politiques n’a jamais été aussi demandeur de nouvelles aptitudes et d’habiletés à diversifier et à mobiliser…
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Pourtant, se préoccuper, comprendre, analyser et pratiquer la politique n’est pas seulement l’affaire de ceux qui se proclament « spécialistes », mais est censé toucher, aujourd’hui plus que jamais, un public diversifié ; des économistes, managers, ingénieurs, journalistes, artistes… qui peuvent apporter leur pierre à l’édifice, face aux besoins pressants de solutions « scientifiques » aux difficultés auxquelles fait face notre pays…
Aujourd’hui, à l’ère du digital, de l’IA, de la communication et des réseaux sociaux, apprendre et pratiquer les Sciences Politiques n’a jamais été aussi demandeur de nouvelles aptitudes et d’habiletés à diversifier et à mobiliser…
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- Pr. Sadok Chaabane | L’importance du cadre institutionnel ?
- Dr. HDR Rafaa Tabib | Impacts de la Géopolitique
- M. Hassen Zargouni | Les chiffres et les Sc. Politiques
- M. Mourad Zeghidi | Médias, Réseaux et Sc. Politiques
Pour aller plus loin
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Date limite d’inscription
Le mercredi 18 janvier, inclusDate et créneau
Le vendredi 20 janvier, 9H15Lieu
Siège de Polytech Intl Group, Rue du lac d’Annecy, Lac 1Contact
(+216) 55 31 00 31 | contact@adc-polytech.comFeedback des invités
Très bonne
★★★★☆
“
Très bonne initiative sur un thème d’actualité, … L’événement gagnerait à être plus médiatisé et être plus ouvert à des établissements universitaires publics ou privés en lien avec le sujet (revenir à la notion d’université…).”
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H. Zargouni
Un bon départ pour un nouveau débat
★★★★★
“
Élargir le débat et associer des compétences d'horizons divers”
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S.Chaabane
Toutes mes félicitations
★★★★★
“
Toutes mes félicitations pour l'organisation d'un tel évènement avec la présence d'autant de personnalités aussi compétentes. Pour répondre à la question au sujet des compétences à enseigner en sciences politiques, je rejoins – en tant que docteur en architecture du pouvoir politique et qu'expert en développement sociétal auprès des organisations de la coopération internationale – plusieurs intervenants insistant sur l'importance d'une ingénierie politique ou de ce qu'on appelle le knowledge based management, ou la nécessité de connaitre la situation de son pays, ou encore la scientificité de la gouvernance. Mon apport à la question est en lien avec le design institutionnel, ou encore l'ergonomie de l'Etat comme déterminant de la connaissance citoyenne des obligations, résultats, et objectifs institutionnels, donc facteur de la transparence au service de la participation active des citoyens à l'élaboration et l'évaluation des politiques, favorisant la redevabilité des élus et la pertinence des orientations. Une Constitution en 150 articles pour ne laisser aucune faille, définit le logement et le transport comme des droits à des libertés alors que ce sont des droits économiques et sociaux et non civiques et politiques. Une salle plénière hémicyclique dans le parlement est le paradigme romain légitimant la décision de la majorité indépendamment de la cohérence avec les priorités territoriales et sociales. Un gouvernement composé de 40 ministères (25 en temps de crise) pour 11 millions de personnes alors que les USA en ont 15 et le Suisse 7. Une confusion entre les secteurs et les performances (les affaires sociales sont des assurances maladie, retraite, et chômage, l'environnement fournit des services d'hygiène, ça n'est pas comme si ces ministères planifiaient les politiques sociales et environnementales des autres secteurs…). Des villes radioconcentriques, congestionnées, et étalées… Les institutions souffrent aussi d'un biais méthodologique en utilisant des outils de planification pour la programmation du développement (la preuve c'est qu'ils parlent de vision stratégique alors que cette dernière est prospective ou politique, c'est le plan qui est stratégique et le tableau de bord tactique) ou encore en pensant que le développement durable ne concerne que la dimension environnementale. Il est en effet très important que les étudiants s'initient à l'approche de programmation de développement basée sur les droits humains pour être capables de proposer les solutions destinées à optimiser la valorisation des richesses, à garantir un accès universel, et à veiller au respect des normes d'impact environnemental.”
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Othman Khaled
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